FELIX ESCLANGON

                                                                                                   
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 Manosquin, physicien, il  a donné son nom à un cratère lunaire, à notre lycée,  à un groupe scolaire de Digne,  au Pont Esclangon de la même ville,  à un bâtiment du Campus de Jussieu (près de Paris), à une rue de Grenoble desservant le polygone scientifique,  à une école et un collège de Viry-Chatillon en Essonne . Il était aussi le neveu de l’astronome Ernest Esclangon ( né dans le village de Mison, inventeur de l’horloge parlante, et qui a donné son nom  à la rue qui passe derrière notre lycée) et le grand-père du mathématicien Pierre Pansu et du physico-chimiste Robert Pansu.

une mémoire

La construction du lycée ESCLANGON s’est terminée en décembre 1961. Nationalisé en 1964, le lycée mixte de Manosque s’est vu rattacher, à la même date, le CES du Mont d’or. A la rentrée 1965, l’ensemble comptait 1458 élèves (948 au lycée lui-même !). Le lycée a été rénové en 1991. Lors de cette rénovation ont été construites la salle polyvalente et la cafétéria des élèves. Les effectifs, 1450 élèves en 2004/2005, n’ont cessé d’augmenter jusqu’en septembre 2005, date d’ouverture du lycée des Iscles. Depuis la rentrée 2005 les effectifs sont environ de 1050 élèves.

L’avenir de « notre lycée » passe par une rénovation prévue dans les prochaines années. En attendant tout est fait pour placer les élèves dans les meilleures conditions possibles pour travailler. Les équipements en matériels informatiques sont tout à fait satisfaisants et ne cessent de progresser. Le lycée fait tout son possible pour réaliser un équilibre entre tradition et innovation.

En effet le lycée a hérité  de documents et matériels  conservés dans le cabinet de curiosité  au CDI  :
 
  • LE  FONDS DOUADY  , composé de vieux beaux livres qui permettent entre autre  un regard épistémologique sur l'évolution des connaissances ,  de leur présentation ainsi que des mentalités .... Monsieur Douady, a même été le professeur de l'écrivain Alain-Fournier qui lui a dédié son livre
  •  L' HERBIER FENOUL,  offert au lycée par son auteur,  sauvé par Hélène Cordier, documentaliste au lycéede1995 à2011,  qui a veillé à son inscription au patrimone manosquin, ainsi quaux herbiorarium de New Yok, Lausanne et Paris. Elle s'est en outre souciée de le faire numériser par des stagiaires de l'université de Montpellier. Il est conservé dans trois armoires au CDI . En savoir plus